Actu du moisfévrier

Tweets et SMS ont des caractéristiques communes, dont celle de ne pas être modifiables. C’est ce que vient de rappeler le PDG de Twitter alors que de nombreux utilisateurs demandaient à ce qu’un bouton « edit » soit ajouté aux fonctionnalités afin de pouvoir corriger des fautes d’orthographe, ajouter un mot oublié ou procéder à tout autre changement après publication.

Le dirigeant érige même ce principe en postulat et affirme qu’il en sera toujours ainsi sur sa plate-forme. Car ce serait la porte ouverte à une grande confusion. Imaginons, par exemple, qu’un texte retweeté serait ultérieurement modifié par son auteur ; cela n’aurait pas de sens.

Dommage pour certaines personnalités, à qui cette possibilité rendrait sans doute service. Citons Donald Trump, dont les fautes d’orthographe et/ou de frappe sont à présent légendaires. Il a par exemple récemment évoqué le Prince Charles en tant que « Prince des baleines » au lieu du « Prince de Galles) (whales au lieu de Wales). Ou encore le ministre de l’Éducation brésilien, qui écrit imprecionante au lieu de impressionante (impressionnant), et, plus près de chez nous, les conseillers de l’Élysée : « Nous n’avons pas fini avec le terrorisme »… « Nous n’en avons pas fini » aurait été plus correct, suivi dans le même tweet de « je me rendrais » au lieu de « je me rendrai », et un petit dernier « c’est vous qui auraient le dernier mot », et je ne vous ferai pas l’offense d’écrire ici la bonne orthographe.

Heureusement que la fonction supprimer est, elle, maintenue.

Le principe des tweets est le même que celui des sms : des messages courts mais non modifiables. C’est ce que vient de rappeler le PDG de Twitter alors que nombre d’utilisateurs demandaient à ce qu’un bouton « edit » soit ajouté aux fonctionnalités afin de pouvoir corriger des fautes d’orthographe, ajouter un mot oublié ou procéder à toute autre modification après publication.

Le dirigeant érige même ce principe en postulat et affirme qu’il en sera toujours ainsi sur sa plate-forme. Car ce serait la porte ouverte à une grande confusion. Imaginons, par exemple, qu’un texte retweeté serait ultérieurement modifié par son auteur ; cela n’aurait pas de sens.

Dommage pour certaines personnalités, à qui cette possibilité rendrait sans doute service. Citons par exemple Donald Trump, dont les fautes d’orthographe et/ou de frappe sont à présent légendaires. Il a récemment évoqué le Prince Charles en tant que « Prince des baleines » au lieu du « Prince de Galles) (whales au lieu de Wales). Ou encore le ministre de l’Éducation brésilien, qui écrit imprecionante au lieu de impressionante (impressionnant), et, plus près de chez nous, les conseillers de l’Élysée : « Nous n’avons pas fini avec le terrorisme »… « Nous n’en avons pas fini » aurait été plus correct, suivi dans le même tweet de « je me rendrais » au lieu de « je me rendrai », et un petit dernier « c’est vous qui auraient le dernier mot », et je ne vous ferai pas l’offense d’écrire ici la bonne orthographe.

Heureusement que la fonction supprimer est, elle, maintenue.